Ce sommet absolu de l’art contrapuntique occidental est un mystère.
Mystère d’abord, car comment est-il possible qu’un cerveau humain compose une œuvre pareille ?
Une vingtaine de fugues toutes plus complexes les unes que les autres, compositions souvent à quatre voix indépendantes, chacune des voix formant la plus belle des mélodies et l’ensemble une harmonie extraordinaire. À l’écoute, c’est presque impossible, on parvient à entendre deux mélodies en même temps, mais quatre… c’est comme écouter quatre conversations simultanément...
(l'article complet sera en ligne en avril 2009)