Repenser

Louis Pernot poursuit ce « petit catéchisme », destiné aux adultes comme aux adolescents, avec une réflexion sur le sens des Béatitudes.

Dire « Je crois en Dieu » n’est pas une affirmation qui se suffit à elle-même. Il y a beaucoup de façons différentes de croire en Dieu, qui correspondent à différentes approches de l’idée même de Dieu. Louis Pernot nous présente un deuxième texte d’une série de plusieurs articles.

« Croire en Dieu » est une expression qui mérite d’être développée et précisée. Chacun lui donne un sens différent, nécessairement lié à l’idée qu’il se fait de Dieu. Et beaucoup d’athées, qui « ne croient pas en Dieu », se font probablement des idées de Dieu que nous refusons, nous aussi .

La prédication est un acte du culte ! Est-il possible d’envisager un concours de prédications ? Eh bien oui : cela a été fait l’an dernier en Suisse.

Le pasteur Philippe Aubert se propose ici d’exposer pourquoi la double prédestination a eu une aussi grande importance dans la théologie réformée.

L’expression « Corps et âme » traduit bien le sentiment courant qu’il s’agit là de deux éléments distincts. Et si l’âme était tout simplement la vie même...

John Shelby Spong, maintenant à la retraite, a été évêque anglican aux États- Unis. Évangile et liberté a publié certains de ses textes très originaux et modernes dans les nos 182, 191, 216, et 231. À l’occasion de la publication d’un nouvel ouvrage (Jésus pour le xxie siècle, éd. Karthala), John Spong a donné le 4 juin une conférence au temple de l’Oratoire à Paris, dont nous reproduisons ici le texte, un peu condensé

À l’opposé du sérieux, l’humour est une forme d’esprit qui cherche à souligner de façon décalée les côtés plaisants et drôles de l’existence. Il établit une connivence entre les interlocuteurs, et, comme le remarque Michel Barlow, l’humour est dénué de toute agressivité. Devrions-nous nous étonner que Dieu ait de l’humour ?

Laurent Gagnebin nous propose deux extraits d’un ouvrage récent de Jean-Marc Ferry, concernant l’amour chrétien dans la société actuelle.

Depuis le siècle des Lumières et le développement de la science, l’idée de miracle apparaît comme dérangeante. Bernard Reymond approfondit le sens de ce mot.